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POP SATORI – SATORI TOUR – UNE NUIT SATORI A L’OLYMPIA

Cet album renferme un mélange de toutes mes influences littéraires et cinématographiques, transposées dans le Paris de 1986. L’hédonisme, la fête, ses gueules de bois, la liberté sexuelle, l’étourdissement, la nostalgie de l’existentialisme de Saint-Germains-des-Prés. “Les illuminations” de Rimbaud.

Dans Pop Satori, je cherche aussi la liberté. J’ai peut-être un peu trop le sens de l’ordre, du devoir et j’ai un fantasme de la liberté qui se concrétise dans mes albums. Ma personnalité profonde est une personnalité profondément libre.

Tout ce qui fait mon bagage culturel est dans Pop Satori. Mais c’est sans prétention, car l’album reste léger, il parle de la danse, de la fête.

Etienne (livres Dahodisco et Portraits & entretiens de Benoît Cachin)

  • 1er avril 86 : sortie de l’album
  • mai 1986 : Pop Satori est disque d’or
Show – 12/86
  • d’octobre à décembre 86 : la tournée Satori Tour
  • 1987 : sortie du live Une nuit Satori à l’Olympia (VHS)
  • 1987 : European Music Award pour le clip Epaule Tattoo
  • juin 87 : Pop Satori est disque de platine
Le Parisien – 07/87
  • 1995 : réédition dans le coffret Pop Zone
    commentaire d’Etienne

    Où le petit jeune homme devient très à la mode, fait des couvertures de journaux. (Il sourit) Tout le monde, de la variété au rock, trouve que je suis génial… jusqu’à ce que ça marche trop bien : d’un coup, plus personne n’y retrouve son compte. (Il rit) J’aime bien ce disque, j’y fais mes premières expériences de production, donc il y a plein d’erreurs. On me disait : « On ne te comprend pas, on n’entend pas ta voix » ; exactement le même reproche qu’on peut me faire aujourd’hui avec Jungle Pulse. Mais ces erreurs font qu’on retrouve toute sa personnalité dans la texture, et que l’album ne ressemble à aucune autre production de l’époque.

    Etienne (propos recueillis par Jean Ellgass) – Radiographie d’une œuvre publique – Live Musique, Cinéma, et cætera – supplément Tribune de Genève – 10/95

  • 2006 : sortie en réédition Pop satori Deluxe
  • 13 novembre 2006 : concert anniversaire unique à l’Olympia pour les 20 ans de l’album Pop satori
  • 31 octobre 2011 : sortie dans la Deluxe Remastered Collection
  • 1er juillet 2014 concert à la Cité de la Musique à Paris
  • 3 septembre 2021 : édition limitée vinyle transparent

 

ALBUM & TEXTES

Les textes sont retranscrits avec la très aimable autorisation d’Etienne. Encore merci à lui.

Satori thème (Etienne Daho/Arnold Turboust)
Le pop satori n’est pas un pas qui se danse froid
Epaule tattoo (Etienne Daho/Arnold Turboust)
Audace, indécence exigées / Blocus pour qui souhaite s’immiscer / Ce night club où le jazz est prisé / Réticence pour qui souhaite s’y glisser / Par le tempo possédée, sur la piste verglacée / Da dap dap dap / Par le tempo possédée, je l’ai vue danser / Ce night à l’admission privée / Entasse une foule électrisée / Par le tempo possédée, sur la piste verglacée / Da dap dap dap / Par le tempo possédée, ma Suzy dansait

Au Taboo, pas besoin de bagou / Son épaule est tattoo,  tattoo / Là, sur sa peau gravé, à l’encre bleue dessiné / Da dap dap dap / Là sur sa peau gravé, un tattoo bleuté

Audace, indécence exigées / Blocus pour qui souhaite s’immiscer / Ce night club où le jazz est prisé / Rictus crispé pour qui s’fait jeter / Vous avez sollicité mes bas instincts suscité / Da dap dap dap / Vous m’avez sollicité j’pouvais pas lutter

Ooh, Taboo, mais ce mot est à vous / Ton épaule est tattoo, t’es toute à moi / Ooh, Taboo, mais ce mot est à vous / Ton épaule est tattoo, t’es toute à moi

Je ne sais c’qui s’passa, Suzy dans le vice, versa / Da dap dap dap / Vice et vice et versa, quand Suzy céda / Vice et vice et versa, Suzy dans le vice versa / Da dap dap dap / Vice et vice et versa, dans le vice, versa

Paris. le Flore (Etienne Daho/Stuart Moxham)
Après-midi, Paris c’est fun, en terrasse, attablé / Regards lourds de sens et connivence pour qui cherche une main / Je n’attends vraiment rien, je viens pour y lire des bouquins / Artaud, Miller puis faut qu’j’aille / Traîner sans raison

De pleurs en frimes, Paris déprime, Saint-Germain s’illumine / Se fondre à la foule, dans la ville aux rencontres faciles / Je n’fais guère attention, les dessins qu’j’ai dans ces cartons / Sont mon unique passion / L’art est ma raison

Chorus
Si jamais d’aventure, je recherche l’aventure / Café Paris, Le Flore, où tu me dis je t’adore

Après-minuit, Paris c’est fun, attablé, détaché / Regards lourds de sens et connivence pour qui cherche une main / Je n’attends vraiment rien, je viens pour y lire des bouquins / Artaud, Miller puis faut qu’j’aille / Traîner sans raison

Pop égérie O. (Etienne Daho)
Règle d’or, motus bouche cousue nos corps à corps / Règle d’or, mystères et boules de gomme en somme

Liaison dangereuse, let’s play / Passions orageuses, let’s play

Ma muse ignore le péché, s’amuse, le jeu prime / Séduction pour jeux de peau, puis elle déprime

Belle et amorale, let’s play / Parfum de scandale, let’s play / Parfum de scandale, oh baby let’s play

Maquillons nos crimes…

Zigzag dans Paris la nuit, se griser, jazz à gogo / Ongles rouges et talons hauts / Dans les mains un verre d’alcool, un bol de coco / Arrogante et verbe haut / Zigzag dans Paris la nuit, égérie O.

Règle d’or, motus, bouche cousue nos corps à corps / Règle d’or, mystères et boules de gomme en somme

Puisque l’on se plait, let’s play / Puisque l’on se plait, Oh baby let’s play

Nos amours que l’on grime…

Chorus

T’es ma pop égérie, y’a qu’toi qui m’étonne / Mais ma poupée chérie, la nuit pour la galerie t’en fais des tonnes

Chorus

Quelqu'un qui m'ressemble (Etienne Daho/Arnold Turboust)
On s’ressemble, c’est fou c’qu’on ressent / Du moins c’est ce qu’il me semble, on s’ressemble / On est bien ensemble et quoiqu’on en pense / Etre ensemble en confidence est pure chance

On s’ressent, c’est à n’y rien comprendre / Tant on se ressemble, on s’ressent / Qui s’ressemble, se rassemble, qui s’ressemble s’assemble / J’cherchais partout quelqu’un qui m’ressemble

On s’ressemble, c’est fou c’qu’on ressent / Du moins c’est ce qu’il nous semble, on s’ressemble / Et puis se confondre, à la nuit se fondre / Seul dans cet hôtel à Londres, me morfondre

Plus de comptes à rendre, ne plus se surprendre / Ailleurs se méprendre, se détendre / Qui s’accorde, se raccorde et se désaccorde / Chercher ailleurs quelqu’un qui t’ressemble

Plus de comptes à rendre, ailleurs se méprendre / Même ailleurs s’éprendre, s’en défendre / Qui s’ressemble, se rassemble et se désassemble / S’casser ailleurs faire c’que bon me semble / Mais tu r’viens

Tombé pour la France (Etienne Daho/Arnold Turboust)
Be bop, pieds nus sous la lune, sans foi ni toit ni fortune / Je passe mon temps à faire n’importe quoi /Sur les pistes noires de préférence, quand le démon de la danse / Me prend le corps, je fais n’importe quoi, tout va bien

Sur un jerk électronique, se nouent des amours ludiques / Be bop la vie c’est n’importe quoi / C’est la fête, c’est psychédélique, me demande pas c’que j’fabrique / Je te répondrais n’importe quoi, j’en sais rien

Chorus

Dum di la, je m’étourdis, ça ne suffit pas / A m’faire oublier que t’es plus là / J’ai gardé cette photo sur moi, ce photomaton que t’aimais pas / Si tu r’viens n’attends pas qu’au bout d’une corde mon corps balance

Be bop, pieds nus sous la lune, sans foi ni toi ni personne / Je crois bien que j’f’rais n’importe quoi / Pour te voir cinq minutes encore à Sables d’or près des dunes / Je te raconterai n’importe quoi, ce sera bien

Dum di la, je m’étourdis ça ne suffit pas / A m’faire oublier que t’es plus là / J’ai gardé cette photo sur moi, ce photomaton que t’aimais pas / Si tu r’viens n’attends pas que je sois tombé pour la France

4000 années d'horreur (Etienne Daho/Rico Conning)
Dans mon château, je vivais tranquille / Quelques farces enfin bref la routine / Le jour où elle s’est installée / En l’air, suspendu j’me suis figé / Ectoplasme transi, elle passe à côté de moi sans me voir

Chorus

Toutes les nuits à travers les murs, dans le château hanté, je murmure / Des mots très doux, ma passion s’déchaîne / Toutes les nuits je fais sonner mes chaînes pour toi

Elle n’aime que les nains, que les gnomes / Qu’après les clubs elle ramène à l’aube / Témoin d’étreintes et de secousses / J’me souviens plus c’que c’est la peau douce / Car je suis un fantôme, son regard me traverse sans me voir / Car je suis un fantôme, son regard me traverse sans me voir

Chorus

J’suis fidèle à ma réputation j’fais des frayeurs à tous ces garçons / Mais leur esprit cartésien m’exaspère / Plus personne ne croit aux fantômes, aarrgg !!!!!

Chorus

J’suis excédé, à bout de patience, j’ai mis au point une ultime vengeance / Ta vie onirique sera hantée par mon image / 4000 années d’horreur !

(Qui sera) Demain, mieux que moi (Etienne Daho)
Pas bouger, pas toucher, tester du pied, pas s’mouiller / C’est ma première nuit chez toi, nuit noire, nuit blanche assurée pour moi / Dormir je suppose, serait sage chose, dormir je m’impose ! / ooh ooh

Pas bouger, pas s’toucher, tester du pied, pas s’mouiller / C’est ma première nuit chez toi, nuit noire, nuit blanche assurée pour toi / Tout près tu reposes, avant que j’implose, peu importe j’ose / ooh ooh

Chorus

Mieux que moi, qui sera demain mieux que moi ?

Tester du bout de l’orteil mon sommeil, tu sais bien qu’au fond je veille / Pas besoin de prose, avant que j’explose, peu importe, j’ose / ooh ooh

Pas boudé, j’suis touché, testé du pied, j’suis mouillé / Envie d’une chose, pratiquer l’osmose, rien ne s’y oppose / ooh ooh

Chup, chup, mieux que moi

Sur tes lèvres roses, un baiser je pose / Sur tes lèvres closes, c’est l’apothéose ! / Sur tes lèvres roses, un baiser je pose / C’est l’apothéose / ooh ooh

Mieux que moi, qui sera demain mieux que moi

Pari à l'hôtel (Etienne Daho)
Je deviens fou dans cette chambre d’hôtel / Accompagné par celle qui n’est pas toi / Que me reste-t-il, une fois mes fringues ramassées ? / Que des draps froissés, que des gestes agacés

Mercredi lourd, dans cette chambre d’hôtel / Muet, je t’appelle pour de nouvelles étincelles / Pour course poursuite dans les couloirs de l’hôtel

Je te donnerai rendez-vous, pari à l’hôtel / Pour se retrouver comme avant

Un labyrinthe où je te cherche / Un couloir où je t’appelle, ma voix résonne

J’aimerai pouvoir t’oublier de temps en temps

J’deviens marteau, dans cette chambre d’hôtel / Accompagné par celle qui n’est pas toi / Muet, je t’appelle pour de nouvelles étincelles  /Pour histoire à suite, dans les couloirs de l’hôtel

Mercredi nul, pari à l’hôtel, j’avais besoin de son épaule

Si t’es plus là, j’aime plus rien / Si t’es plus là, j’suis plus rien, j’suis plus personne

J’aimerais pouvoir t’oublier ce soir

Pari perdu, pari à l’hôtel, j’avais besoin de ton épaule

Si t’es plus là, j’deviens branque / J’entends plus rien, tu me manques, j’aime plus personne

Pari perdu, pari à l’hôtel, j’avais besoin de ton épaule…

Duel au soleil (Robert Farrel/Jérôme Soligny)
Satanée pleine lune rousse triangle des Bermudes / J’fais rimer latitude, solitude et incertitudes  / Entre deux surprises-parties, tu m’as surpris, t’es partie / Seul je suffoque dans cette jungle, ça m’rend dingue, t’es partie

J’fais un vœu, le feu d’un duel au soleil / Je rêve d’un duel avec toi / Prise au piège tu te rendras / Provoc et duel avec toi

L’horizon s’éclaircit, sublime, le soleil s’est levé /Dans le rôle d’une rebelle des sables, enfin tu apparais / Défiant toutes tes attitudes, dans les dunes, caché /Je n’te laisserai aucune chance, pas de chance

J’fais un vœu, le feu d’un duel au soleil, / Je rêve d’un duel avec toi / En haut d’la falaise tu viendras / Provoc et duel avec toi / Me donner la fièvre au soleil / En haut de la falaise rebelle / Je veux un duel avec toi / Duel au soleil contre moi

Choix des armes, arme blanche, ta préférence ? / A ta guise, ton regard qui s’aiguise, insolent

J’fais un vœu, le feu d’un duel au soleil / Je rêve d’un duel avec toi / En haut de la falaise rebelle / Provoc et duel avec toi / Me donner la fièvre au soleil / En haut de la falaise rebelle / Je veux un duel avec toi / T’es prise au jeu tu te rendras / Duel au soleil contre moi

Satori pop century (Etienne Daho/Arnold Turboust)
Satori pop, pop satori / S.A.T.O.R.I, ça s’écrit / Satori pop, pop, pop satori

Mais non, c’n’est pas encore une chanson d’amour / C’est une chanson sur beaucoup mieux que ça / C’est un hymne à beaucoup plus flash / C’est une chanson sur la lumière / C’est une chanson sur les détails / Sur la nervosité fébrile lorsque tu m’touches et que tu m’pinces

Laissons nous bercer d’illusions, berner

Toi et moi petits enfants du siècle, neufs, affolés / Illuminés complètement / Réunis par hasard pour le luxe et le mieux / Reste debout près de moi mon enfant pop sacré / Pour que ma joie demeure / C’est une musique sur le feu qui nous habite, mon bébé

Laissons nous bercer d’illusions, berner

Hey, t’as vu la lumière, c’est quoi ? / C’est une chanson sur les détails de nos rencontres / Un vingt deux février de l’année pop, pop au soir.

Laissons-nous bercer d’illusions, berner

Mais non c’n’est pas encore une chanson d’amour / C’est une chanson exaltée et naïve sur la lumière / Et aussi sur les détails

En guise d’épilogue, ouvrons la dialogue / Mission tous deux, euphorie synchrone

Late night (Syd Barrett)
When I woke up today / And you weren’t there to play / Then I wanted to be with you / When you showed me your eyes / Whispered love at the skies / Then I wanted to stay with you / Inside me I feel alone and unreal / And the way you kiss will always be / A very special thing to me…

When I lay still at night seeing / Stars high and light / Then I wanted to be with you / When the rooftops shone dark / All alone (I) saw a spark / Spark of love just to stay with you / Inside me I feel alone and unreal / And the way you kiss will always be / A very special thing to me…

If I mention your name / Turn around on a chain / Then the sky opens for you / When we grew very tall / When I saw you so small / Then I wanted to stay with you / Inside me I feel alone and unreal / And the way you kiss will always be / A very special thing to me…

LIVE UNE NUIT SATORI A L’OLYMPIA (VHS)

Satori thème  –  Signé Kiko  –  Le grand sommeil  –  4000 années d’horreur  –  Swingin’London  – Arnold Layne  –  Paris, le Flore –  Duel au soleil  –  Et si je m’en vais avant toi  –  Tombé pour la France  –  Pop égérie O.  –  Week-end à Rome  –  Satori pop cenury  –  Sortir ce soir  –  Demain, mieux que moi  –  Epaule tattoo

 clips

Le grand sommeil  –  Week-end à Rome  –  Tombé pour la France  – Epaule tattoo  –  Paris, le Flore  –  Duel au soleil

DELUXE REMASTERED COLLECTION

disque 1
album original
+
Satori thème
(version “Jack in Paris”)
Epaule tattoo (extended version)
Epaule tattoo (remix William Orbit)
Tombé pour la France (remix Fischerspooner)
(Qui sera) Demain, mieux que moi (single mix Rico Conning)
Duel au soleil (extended version)
Duello al sole

disque 2
Satori thème (live 86)
Epaule tattoo (live 86)
4000 années d’horreur (live 86)
Paris le Flore (live 86)
Quelqu’un qui m’ressemble (live 86)
Pop égérie O. (avec la participation d’Elli Medeiros)(live 86)
(Qui sera) Demain, mieux que moi (live 86)
Duel au soleil (live 86)
Tombé pour la France (live 86)
Satori pop century (live 86)
Late night (live 86)
So in love (Orchestral Manoeuvres in the Dark) (feat. Etienne Daho)
Sweeter than you
Soleil de minuit (mix Sombre romance)
Soleil de minuit (mix Graine de violence)
Satori pop century (démo 86)
Love at the first sight (démo 86) (Stuart Moxham)
(Qui sera) Demain, mieux que moi (démo 86)
Quelqu’un qui m’ressemble (démo 86)
Centerfold romance (démo 86)

liste non exhaustive des formats existants


Epaule tattoo
Satori theme
sorti le 1er mars 86

Duel au soleil
Pop Egérie O
sorti le 6 octobre 86
PROMOS & MAXIS

single promo
Epaule tattoo
Satori theme

maxi single promo
Epaule tattoo (very extended version)
Epaule Tattoo (version longue)

maxi single
Epaule tattoo (extended version)
L’été
Sweeter than you
Sunday morning

maxi single promo
Duel au soleil (version longue)
Pop Egérie O
Soleil de minuit
Duel au soleil (version courte)

Seuls les titres ayant plusieurs versions (même celles pour lesquelles il n’existe aucun enregistrement, mentionnées “AE”) sont repris ci-dessous avec, le cas échéant, un lien pour l’écouter .

contenu bientôt en ligne

Satori thème

version démo

version album
version « Jack in Paris »
Deluxe remastered collection

Satori Tour
Une nuit Satori à l’Olympia (VHS) – 1987
Deluxe remastered collection
concert anniversaire 20 ans de l’album – Olympia 13/11/06
AE

concert Cité de la musique 01/07/14
AE
Epaule tattoo

version album

extended version – 1986
Deluxe remastered collection
very extended version – 1986
Satori Tour
Une nuit Satori à l’Olympia (VHS) – 1987
Deluxe remastered collection
Tour martien
Live ED – 1989
Le Tour de Paris et d’Ailleurs
DahOlympia- 1993
remix William Orbit – 1994 Kaléidoscope Tour
Bienvenue à la maison (cd 5 titres Best of singles) – 1998
Le Tour de l’été sans fin
Live 2001

concert acoustique au Rex à Paris 17/12/01
soirée spéciale Daho – concert acoustique Canal Jimmy 17/01/02
Réévolution Tour
Sortir ce soir – 2005

concert anniversaire 20 ans de l’album – Olympia 13/11/06
AE
Obsession Tour
Daho Pleyel Paris – 2009
Diskönoir Tour
London Daho – 2014
BlitzTour
Nos chants illuminent  la nuit – 2018
Paris le Flore

version album

version démo anglaise Love at first sight – 1986
Deluxe remastered collection

Satori Tour
Une nuit Satori à l’Olympia (VHS) – 1987
Deluxe remastered collection

Tour martien
Live ED – 1989

Le Tour de Paris et d’Ailleurs
DahOlympia- 1993

concert anniversaire 20 ans de l’album – Olympia 13/11/06
AE

concert Cité de la musique 01/07/14
AE

Obsession Tour
Daho Pleyel Paris – 2009
Pop Egérie O.

version album

Satori Tour
Une nuit Satori à l’Olympia (VHS) – 1987
Deluxe remastered collection

concert anniversaire 20 ans de l’album – Olympia 13/11/06
AE

concert Cité de la musique 01/07/14
AE
Quelqu'un qui m'ressemble

version démo – 1986
Deluxe remastered collection

version album

Satori Tour
Une nuit Satori à l’Olympia (VHS) – 1987
Deluxe remastered collection

Tour martien
Live ED – 1989

version 1992
coffret Best of singles

Le Tour de Paris et d’Ailleurs
DahOlympia- 1993

en trio avec Sylvie Vartan et Françoise Hardy – 1998

concert anniversaire 20 ans de l’album – Olympia 13/11/06
AE

concert Cité de la musique 01/07/14
AE
Tombé pour la France

version démo 1985
La notte, la notte Deluxe remastered collection

version album

version maxi
La notte, la notte Deluxe remastered collection

adaptation anglaise Patch up my heart -1985
La notte, la notte Deluxe remastered collection
Daho e grupo – 1985
AE

Satori Tour
Une nuit Satori à l’Olympia (VHS) – 1987
La notte, la notte Deluxe remastered collection

Tour martien
Live ED – 1989

Le Tour de Paris et d’Ailleurs
DahOlympia (VHS) – 1993
Kaléidoscope Tour
Bienvenue à la maison (cd 5 titres Best of singles) – 1998

Le Tour de l’été sans fin
Live 2001

Réévolution Tour
Sortir ce soir – 2005
remix Fischerspooner
Deluxe remastered collection

concert anniversaire 20 ans de l’album – Olympia 13/11/06
AE

Diskönoir Tour
London Daho 2014
BlitzTour
Nos chants illuminent  la nuit – 2018
4000 années d'horreurs


version album

Satori Tour
Une nuit Satori à l’Olympia (VHS) – 1987
Deluxe remastered collection

Le Tour de Paris et d’Ailleurs
DahOlympia- 1993

concert anniversaire 20 ans de l’album – Olympia 13/11/06
AE
concert Cité de la musique 01/07/14
AE
(Qui sera) Demain mieux que moi


version démo 1986

version album

Satori Tour
Une nuit Satori à l’Olympia (VHS) – 1987
Deluxe remastered collection

Le Tour de Paris et d’Ailleurs
DahOlympia (VHS) – 1993

concert anniversaire 20 ans de l’album – Olympia 13/11/06
AE
concert Cité de la musique 01/07/14
AE
Pari à l'hôtel


version album

concert anniversaire 20 ans de l’album – Olympia 13/11/06
AE
concert Cité de la musique 01/07/14
AE
Duel au soleil

version album
extended version
Deluxe remastered collection

version italienne
Deluxe remastered collection

version démo anglaise Centerfold romance
Deluxe remastered collection

Satori Tour
Une nuit Satori à l’Olympia (VHS) – 1987
Deluxe remastered collection

Tour martien
Live ED – 1989

Kaléidoscope Tour
Bienvenue à la maison (cd 5 titres Best of singles) – 1998

Le Tour de l’été sans fin
Live 2001

concert anniversaire 20 ans de l’album – Olympia 13/11/06
AE
concert Cité de la musique 01/07/14
AE
Satori pop century

version album

Satori Tour
Une nuit Satori à l’Olympia (VHS) – 1987
Deluxe remastered collection

Le Tour de Paris et d’Ailleurs
DahOlympia- 1993

concert anniversaire 20 ans de l’album – Olympia 13/11/06
AE
concert Cité de la musique 01/07/14
AE
Late night

version album

Satori Tour
Deluxe remastered collection

concert anniversaire 20 ans de l’album – Olympia 13/11/06
AE
concert Cité de la musique 01/07/14
AE
  • Pollen 25041986  Pollen – source INA – 25/04/86
  • à l’occasion des 35 ans de l’album
    Pop n Co France Inter 03042021  Pop n’ Co – Nuits blanches de Londres à Paris : “Pop Satori” d’Etienne Daho – France Inter – 03/04/21

Sous certaines références d’articles, vous aurez la possibilité de parcourir l’intégralité de l’article, pour d’autres, vous trouverez une courte introduction ou amorce, également appelée chapeau ou « chapô » dans le jargon journalistique, offrant un résumé du contenu de l’article.  Si tel est le cas, il vous suffit de cliquer sur le titre approprié pour accéder à la version complète de l’article.

PRESSE SINGLE

EPAULE TATTOO

  • Super clip au top “Epaule Tattoo” Etienne Daho – Top 50 – 25/08/86

    Pop star naissante, Etienne Daho s’impose prioritairement comme un artiste d’albums en route pour une longue et importante carrière.  Il tisse à travers ses galettes parfumées d’un romantisme aigre-doux son univers emmêlé de souvenirs personnels, de rêveries nocturnes, de petites touches de vie.  “Epaule Tattoo” la chanson, est née d’une rencontre agréable sans lendemain, ainsi : pendant l’enregistrement de son dernier album, “Pop Satori”, le séduisant Etienne fait connaissance d’une charmante girl dans un club très privé du furieux Londres, le Tabou. 

    lire la suite

    Avec elle, il s’est lié d’intimité et a découvert qu’elle portait un superbe tatouage à  l’épaule.  Cette vision marquante l’a poussé dès le lendemain matin au studio londonien à immortaliser ce  petit événement.  A la va-vite, il a superbement écrit l’histoire d’une épaule tatouée, de la traversée d’un channel en une nuit.  Pop, swinguant, positif, le résultat est somptueux, le souvenir gravé pour longtemps.  Pour le moment, à notre grand regret, le titre “Epaule Tattoo” n’est pas encore classé dans le sacro-saint Top 50  – alors que “Pop Satori” figure depuis un paquet de semaines dans le classement des meilleures ventes d’albums, autrement dit le Top 20.  Et nous nous avons vraiment envie qu’il y accède.  Pour moult raisons : le talent d’Etienne, sa sympathie, sa simplicité.  Autre raison, aussi : sa fun de vie, la beauté du clip d'”Epaule Tattoo”.  Ça, c’est ce qu’on peut appeler un vrai clip.Avec des idées et des moyens.  Des hommes d’images et des copains, des femmes belles à connaître et à foison.  C’est l’illustration démesurée de ladite chanson.  Dans la version chantée, il y a une seule fille tatouée, dans celle clipée, au moins quarante.  Du délire.  Et pas, n’importe qui dans le genre figuration, que des mannequins, toutes aussi alléchantes les unes que les autres, et à demi-nues, en plus.  Des bombe-girls, comme dans une super-production américaine.  La référence, on la sent à plein nez, elle est d’ailleurs voulue : c’est la mythique série James Bond 007.  C’est Philippe Gauthier, un réalisateur sacrément talentueux, auteur notamment du “Marcia Baïla” des Rita Mitsouko, du “Jour s’est levé” des feu-Téléphone, qui a eu l’idée de rendre un bel hommage à ce genre très spécial de cinéma qui glorifie luxe, volupté, aventures sans limites, la vie, quoi !  Tout bleu, le clip reprend tous les clichés et gimmick-images qui caractérisent si fidèlement les films de l’espion séducteur.  C’est frais, joliment sixties et subliment réalisé.  Etienne Daho semble tout à fait à son aise dans cette affaire.  Ultime question ira-t-il jusqu’à se faire appeler Dah 007 ?

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  • Rock & Folk – 09/86

    Trois ombres chinoises de japonaises en armes (harpon, poignard, mitraillette) se lèvent une à une dans un écran séparé en trois cases…  C’est le nouveau clip de Daho.  Sur la bande son, déjà, la batterie donne le tempo.  Ambiance Goldfinger, femmes de rêve et arts martiaux : Daho 007 (accompagné pour la circonstance de Daho Girls superbes) pastiche les vieux James Bond, pique trois plans à Kubrick (“L’Ultime Razzia”) et tourne la vidéo de son nouveau single. “Epaule Tattoo”, sous la direction de Philippe Gauthier.

  • “Epaule Tatoo” (extended version) Maxi 45 tours – Kezako – 11/86

    Au moment où je rédige ces lignes, ce maxi 45 tours n’est pas encore en vente.  Gentiment offert par Etienne DAHO lors de  notre entrevue, ce Maxi nous propose une version remixée du titre “Epaule tatoo” ; très top 50, cette “face A” est destinée à grimper au plus haut des charts, ce qui n’est pas, à mon sens, l’intérêt primordial de ce disque.  La “face B” nous propose trois titres : un remix de “L’été” extrait de son premier album (Mythomane) ; la reprise de “Sunday Morning” de LOU REED extraite de la compilation “Les enfants du Velvet” et enfin un inédit : la reprise de “Sweeter than you” de B. Knight.  En dehors du fait que cet album ne nous propose pas un réel travail de création et de composition, ce maxi sera indispensable à tous les fans.  A mon avis, il n’y aura pas que les fans qui apprécieront.

PRESSE RELATIVE A L’ALBUM

  • Pop satori, un 33 tours sympa – Libération – 1986
  • 4 ans déjà… (interview) – Cool – 1986
    chapeau de l’article

    Il est tout ce qu’on n’attend plus dans un milieu où le succès tourne trop vite les têtes. Serein, simple, sagement fou, talentueux… Etienne possède toutes qualités, avec en plus le privilège d’être vrai. C’est sans doute parce que tous ces atouts se retrouvent dans son nouvel album que “Pop Satori” lui colle à la peau.
    La pâte Daho est bien montée, la recette savamment dosée et le plaisir d’éctoute intense.
    Avis aux amateurs et aux incrédules du talent, un artiste est né, il y a 4 ans. Aujourd’hui, il est confirmé. Le style Etienne Daho est arrivé…

  • Le prendre un peu Daho – Libération – 26/04/86
  • L’Evénement du jeudi – 30/04/86

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  • Etienne Daho – Pop satori – Rock & Folk – 05/86
  • Grandeur nature – 05/86

    Enfin !  Notre charmeur de service est de retour (Et quel retour !).  J’ai nommé Etienne Daho.  Après un tube “La Notte, La Notte”, Etienne Daho quitte son penchant nostalgique pour aboutir au succès “Tomber pour la France”, titre que l’on retrouve dans ce troisième album “Pop Satori”.  Et là !  Oh Surprise !  Notre petit Rennais nous propose un 33 T aux titres énergiques lui donnant, par la même occasion, une allure plus tonique, plus sûre de lui.  Il a même poussé le vice, et nous chante “Late Night” et oui… En Anglais !  Et c’est beau !  Mais le coup de coeur sera pour “Duel au Soleil”, titre romantico-exotique aux conotations espagnoles… Une vraie merveille !  Plus de doutes, Etienne Daho est un Pro de la chanson française, et ce, dans tous les sens du terme.

  • Pop satori – Swing – 05/86
  • Daho pop star – de A à Zen – Rock & Folk – 05/86

  • Hebdo Logiciel – 02/05/86

    Avec ce troisième album, Daho confirme ses grandes qualités d’auteur de chansons pop.  Même s’il n’est pas vraiment présenté comme tel, ce disque a un petit goût de concept album, avec sa “face pop” débutant sur le “Satori Thème” et sa “face satori” glissant en final sur l’achèvement du thème de départ, aux échappées synthétiques fort agréables, sur lequel, en talk-over, Daho prend un malin plaisir à tourner subtilement son personnage en dérision, à démystifier l’image de crooner-pop, de sweet-lover qui émanait de tous se hits.  Un disque intelligent, où l’on s’aperçoit que, sans son ancien compagnon producteur Franck Darcel, Etienne Daho s’en tire à merveille et où le tandem Daho/Turboust s’affirme comme l’un des plus inspirés du moment.  Heureuse surprise aussi de trouver quelques morceaux très dansants, tranchant avec les climats brumeux dans lesquels Daho sait toujours se complaire.  Enfin, pour compléter la valeur de l’ensemble, un titre qui devrait pulvériser les hit-parades : “4000 Années d’horreur”.  Emballage classieux, cadeau précieux.

  • Daho, l’ado dandy – 7 à Paris – 14/05/86

    Dandy cool et branché, Etienne Daho passe des après-midi existentialistes à la terrasse du Café de Flore, comptant d’un oeil les émules de Sartre et reluquant de l’autre les minettes du boulevard Saint-Germain.  A la tienne, Etienne.  On le retrouve dansant comme un fou dès que la nuit porte jarretelles dans les boîtes style Bains Douches.  Etienne Daho est bien tombé pour la France.  Sur Pop Satori, son troisième album, il montre une étonnante maturité contrastant avec son look d’adolescent instable et qui s’exprime par une grande maîtrise du style Daho.  Avec une langueur tout à tour exquise comme celle de Françoise Hardy et monotone comme celle de Verlaine, sa délicatesse fait merveille dans les ballades pop.  Dès qu’il passe à la vitesse supérieure, Daho peut même devenir bougrement exictant et entraînant.  Malgré une production moyene, son disque s’écoute agréablement jusqu’à sa conclusion par la reprise de Late Night, une chanson précoce de Pink Floyd signée Syd Barret.  La classe !

  •  Etienne Daho – Pop satoriTélérama – 21/05/86
  • Le Quotidien – 24/05/86

    Au début, surprise, et relative tristesse.  Où est passé le charme minimaliste de  “la Notte, la notte” ?  Que sont la nostalgie et la mesure devenues ?  La voix du charmant Etienne est perdue sous des nuages synthétiques.  L’électronique arrivepar par nappes.  On s’y noie comme dans le fog.  La progession est nette ; premier album, production façon “Mini-Mir, Mini-Prix” de Jacno ; “la Notte, la notte” équilibre parfait grâce à l’excellent Frank Darcel ; enfin “Pop Satori” (Satori, c’est l’extase chez les babas) avec véritable invasion sonore des parties instrumentales.  La faute à qui, à Daho lui-même, qui montre pour la première fois des ambitions.  On le préférait modeste.  Pourtant (il y en a un) à force le charme s’installe.  Quand le brouillard tombe, on ne voit rien ; quand on s’y est habitué, ça donne du charme aux choses.  “Epaule tatoo” – Ze first single – s’insinue.  Insidieux, s’installe au cœur des neurones.  Les enrobe – ce qui doit être la première manifestation de l’extase.  On est moins sévère, un peu plus dérouté.  Bref, cent fois sur la platine remettez cet ouvrage.  Bien pressé, le jus en est exquis.

  • Doux DahoBaraka – 06/86
  • Télérama – 06/86

    On pourrait sans doute paser un peu de temps à légitimer la présence de Daho dans la colonne rock.  Temps perdu : il suffirait de dire que, si Daho est un peu en deçà du rock, c’est à partir d’une ligne de crête qui lui donne le choix entre deux pentes : d’une part la pop, yéyé variété (Hardy via Dutronc et Gainsbourg), d’autre part la complainte rock pipée dans le sens de la profondeur (Velvet, Syd Barret).  Le reste n’étant qu’une épineuse – et très nationale – question d’équilibre (cf. Tombé pour la France).
    L’image du chanteur : finie l’option poulbot  romantique, modeste est creuse, façade un peu lisse des chansons un peu policées de la Notte.  Sur la pochette mordorée  avec zèle (l’or appelant l’or ?) de Pop Satori, l’artiste affiche une tête de gigolo qui lirait au-dessus de ses moyens, de néo-philisophe boudeur, emmuré dans une métaphysique de boudoir.  Il n’est certainement pas blasphématoire de remarquer qu’un processus de “starification” est entamé.

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    C’est ce que nous aussi le disque et ses chansons.  Son plus froncé, plus épais que celui de la Notte, n’évacuant pas les subtilités de studio, proche par endroits du sur-mixage.  On passe.  Alternance comme toujours de tempos rapides (Epaule Tatoo, Pop Egerie O.) et lents (Paris, le Flore, Duel au soleil).  Chant : embué.  Textes : sexuels par la bande, sorte d’éphémèride distrait d’un jeune homme distrait dans une époque distraite.  Distrayants, donc.  Conclusion, un album stylé, mature.  En perte d’innocence, peut-être.

    Arnaud Viviant – Télérama

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  • Daho dandy – Wind – 06/86

    Traîner à la terrasse du Flore, à la tombée de la nuit, regarder Paris s’illuminer puis filer à une party.  Aller faire un tour aux Bains Douches, le temps d’une coupe, le temps d’une danse.  Croiser des regards, esquisser des envies.  Ecouter Daho.  Pour le fun.  Pour les ambiances floues, d’une dérive nocturne ou d’un amour fou qui finira peut-être bientôt… Après le succès de “La Notte, La Notte” puis de “Tombé pour la France”, Etienne Daho est un garçon heureux flottant sur un nuage pop entre les œuvres complètes de Françoise Hardy (sur qui il est en train d’écrire un livre, avec Jérôme Soligny) et les premiers disques de Velvet.  Etiene Daho vit un grand flash, un “satori” à Paris.  Que ce soit dans des ballades délavées et subtiles ou dans des titres plus musclés, hymnes des discothèques et des clubs surchauffés (“Pop Egerie O.), “Pop Satori” (Virgin), son dernier album, reflète superbement cet état d’esprit qui donne envie de sortir et de danser toute la nuit.  A deux doigts de l’été, ce petit chef-d’œuvre s’impose…

    Philippe Blanchet – Wind

  • Paroles et musique – 06/86

    Etienne Daho publiera en octobre prochain un livre sur son idole française Françoise Hardy (co-écrit avec Jérôme Soligny) et nous propose ce printemps son troisième album, Pop Satori (d’après le bouquin de Kérouac Satori in Paris).  Le troisième album, le cap indispensable à bien franchir si l’on veut durer et s’affirmer.  Et Daho le passe bien, son troisième !  On se doute que ce n’est pas sulfureux comme du Thiéfaine ou éraillé comme du Personne.  Daho, c’est toujours pop, tendre, intimiste, moiré.  Daho est un chat qui joue les dandys ; il passe et repasse sur la bande FM et sur des centaines de milliers de platines.  Seulement, cette fois il va y rester.  Il impose sa vision nocturne et “night-clubbée” (“Paris, le Flore”), un amour avoué en frémissant (“Quelqu’un qui m’ressemble”) et même (surprise) des sortes de coups de gueule (“Pari à l’hôtel”, “Duel au soleil”).

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    Pour la première fois, Frank Darcel son producteur attitré n’est pas à ses côtés.  Avec son fidèle claviers Arnold Turboust, il vole de ses propres ailes et monte bien haut.  La “pop face” (face A) est séduisante et grisette-rock ; bonne idée d’avoir repris “Tombé pour la France”.  La “Satori face” (B) est franchement intéressante, presque captivante : Daho se découvre et se défoule (enfin, presque) ; il devient plus cohérent aux yeux de ceux qui doutaient, et les tricots de synthés, les fréquences basses programmées et autres trouvailles métropolis renforcent sensiblement un propos faussement léger qui veut faire danser et oublier le quotidien.  Dandy music pas vraiment sociale, Etienne est à l’aise en 86 et nous aussi.  En prime, l’indispensable hommage à Syd Barret du Pink Floyd, “Late night”, et le tube “Epaule tattoo, dap, dap, dap” quoique “Quelqu’un qui m’ressemble” est assez monstrueux.

    Jean-Marie Leduc – Paroles et musique

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  • Etienne Daho, l’homme aux fans – Murs, Murs – Le journal des villes – 06-08/86
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  • Décibels – Rock around Bécassine (article relatif à l’émission Décibels)- Radio TV – 26/06/86
  • Compact – 07/86

    Après “Mythomane” en 82 et “La Notte, la notte” qui lui vaut la consécration, voici venir le 3ème album d’Etienne Daho.  Cet ex-branché de Rennes, où il avait travaillé avec Marquis de Sade et Jacno, a su évoluer d’une new wave pour initiés à une variété plus populaire.  Sans tomber pour autant dans la facilité car Daho est bien plus qu’un chanteur de charme pour midinettes.  “Pop Satori” en est la dernière preuve.  Après “Tombé pour la France”, son précédent 45 T (qui figure également sur l’album), l’approche en est moins immédiate mais beaucoup plus convaincante.  Du dehors comme du dedans, le souci est à l’esthétique.

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    Pochette très classe, titre recherché emprunté au japonais avec Satori ou l’illumination conduisant à l’extase.  L’objectif est atteint par la production soignée, à laquelle Daho s’est lui-même attelé après ses déboires à Londres avec Torch Song. Par les mélodies électroniques aux guitares appuyées d’Arnold Turboust (sauf pour les accords sixties de “Duel au soleil” composés par Jérôme Soligny).  Par les textes intimes et délicats sur l’amour, celui que l’on fait, effleurés par les mots en toute discrétion.
    Charme et séduction imparables.  Daho persiste également dans l’exercice des reprises.  Il adpate en français “Love at first sight” de The Gist qui devient un superbe “Paris le Flore” et interprète une version totalement désarmante de “Late Night” de Syd Barret.  Le tout est élégant, précieux, tendre, chaud et subtil.  Plaisir absolu.  Daho, c’est la romantique douceur, la fragilité, la naïveté, la passion mais aussi et surtout le raffinement et l’intelligence qu’il a su redonner à la variété française.
    A redécouvrir avec émotion sur la scène de l’Olympia en septembre prochain.

    Sylvie Devilette – Compact

    Technique : instruments très présents et définis, spectaculaires.  Malheureusement, la voix, réverbérée et métallique n’est pas assez détachée ; elle est parfois presque incompréhensible.

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  • 20 ans – 07/86

    Etienne Daho est déjà le chouchou de ces dames, surtout des jeunes filles en fleurs.  “Pop Satori” (Virgin), son tout nouveau disque, ajoute une nouvelle arme séduction à sa panoplie.  Tempo léger, douce décontraction, ballade caressante, une pop qui chuchote des confidences à l’oreille.  Le temps qui passe, la dérive sans problème, le soleil, les filles, les terrasses de café, l’artiste s’amuse à tisser sa toile nuit et jour.  Poète et dandy, il est tout à la fois moderne et nostalgique, un pied dans les sixties qu’il aime, le reste en prise directe avec les rythmes électro pop.  D’où, sans doute, cette couleur unique dans la chanson française, ce charme particulier qui fait fondre les teenagers et les autres.  “Pop Satori” est une réussite exemplaire dans la mesure où Daho n’hésite pas à rester lui-même, à se raconter.  Sans sacrifier aux modes, il invente son style, une atmosphère et un son immédiatement identifiable.

  • Confirmation tranquille (interview) – Flash – 07/86
  • Un jeune homme bien sous tous rapports (interview) – Foto Music – 07/86
  • Caresse printanière – L’Hebdo – 24/07/86
  • Gourmand de la vie – Graffiti – 29/07/86
  • Etienne Daho en toute simplicitéSalut – 08/86
  • Etienne Daho : illuminé, complètement – Québec Rock – 08/86
  • Pop satori – Québec Rock – 08/86
  • Comme des perles de rosée – La Gazette de Lausanne – 02/08/86

  • Etienne DahoRadio TV 8 – 11/09/86
  • L’Etudiant – 10/86

  • Etienne Daho ou la sophistication de la simplicité (interview) – Graffiti – 10/86
    chapeau de l’article

    Un album rare vient de sortir et il est vraiment recommandé aux amateurs de plaisir immédiat, de se le mettre entre les oreilles. Celui par qui le scandale n’arrive pas mais celui par qui le talent original se taille la part de choix n’est autre qu’Etienne Daho. A Grafffiti, nous avons craqué sur “Satory Pop”, alors nous avons impérativement tenu à ouvrir le micro à cet auteur-compositeur, héritier de Gainsbourg et des anglo-saxons. Alors qu’il achevait un déjeuner dans une brasserie du 9e arrondissement, nous nous sommes glissés entre le dessert et le café dans l’univers intimiste de “Daho l’anti-opportuniste”.

  • Etienne Daho – Il plaît même à ma mère (interview) – 10/86
  • L’enfant terrible du show-bizVSD – 10/86
  • Etienne Daho en tournée – Un entretien révélateur (interview) – Kezako – 10/86
    chapeau de l’article

    Avant d’entamer sa deuxième grande tournée française, Etienne Daho s’est confié à nous. Il est apparu un homme doux, amoueux, généreux, haineux et mystérieux. C’était aussi une occasion pour lui de remettre certaines choses à leurs places. Etienne Daho vend des disques et sera à l’Olympia du 21 au 28 octobre prochain. Etienne Daho, l’événement du rock français en cette rentrée 86.

  • Premier “song-book” Show – 12/86

  • Hello Mister Daho  (article sur l’émission DAHOMD – Etienne et le groupe Orchestral Manoeuvres in the the Dark) – Radio TV 8 – 09/10/86
  • “Pop Satori” de Etienne Daho – Le Soleil (Québec) – 11/10/86
  • Lio et Etienne Daho se posent des questions – OK – 13-19/10/86

  • Be-bop satoriRock News – 11/86
    chapeau de l’article

    Quand je retrouve Etienne Daho dans son appartement du 9e arrondissement, il est sur le point de retrouver la scène de l’Olympia, qu’il a foulé pour la première fois l’an passé ! Déjà “sold out” depuis fort longtemps, cette semaine fait figure de consécration définitive. Son album “Pop Satori” est parmi les meilleures ventes de l’année alors qu'”Epaule Tattoo” grimpe au Top ! Tout va donc au mieux pour ce jeune garçon venu de Rennes qui en profite pour sortir son premier livre “Superstar et ermite”, consacré à Françoise Hardy et pour faire une première apparition au cinéma devant les caméras d’Olivier Assayas !

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  • Daho – Swing – 11/86
  • Etienne Daho : samouraï pop (interview) – Télémoustique – 11/86
  • Le triomphe du dernier des romantiques – Rock it – 11-12/86

  • Samouraï – 01/87

    Fini le combat pop et variété, on s’en moque !  Daho fait dans la touche personnelle sous influences et le résultat reste très bon.  Troisième album celui de la consécration certaine au rang des gens qui vont marquer les années 90.  Oui donnons une date car il s’agit bien d’air du temps mais va-t’on comprendre que le présent est important ?  Je l’espère.  En tout cas, j’aime cet album presque de A à Z.  Je dis presque car à la première écoute c’est un peu la déception qui s’est inscrite dans ma tête.  Je ne sentais pas la nouveauté, l’exceptionnel… Et puis, je me suis dit tant pis mais je n’ai pas désespéré et dès la seconde écoute tout était différent.  “Satori Pop Century” a fini par m’obséder… “Mais non ce n’est pas encore une chanson d’amour”… Les autres titres ont suivi.  “4000 années d’horreur”, “Pop Egérie O”, “Paris, le Flore” … “Si jamais d’aventure, je recherche l’aventure”… et même le titre Velvet Underground, “Late Night”.  Depuis difficile de s’en passer plus d’une journée et encore moins depuis la sortie “Epaule Tatoo” en clip, entre James Bond et Barbarella.  Etonnant non ?

  • Spleen l’ancien – Télérama – 14/01/87

    Il vient de recevoir la médaille de la ville de Rennes.  Elle lui devait bien ça.  Et il lui doit beaucoup !  Ce sont les Transmusicales de Rennes qui ont porté sur les fonts baptismaux du succès, le fan de Françoise Hardy et du groupe Velvet Underground.  A coup de mots doux et de clins-d’œil-frissons, Daho a remis la pop à la mode.  Il y avait quelques lustres que plus persone ne prononçait ce mot-là, devenu ringard !  Avec le frère Etienne, il s’est paré d’élégante nostalgie, de mélancolie de gentleman et de spleen de Gatbsy nocturne.  Daho a sophistiqué les années soixante.

  • Daho, le chanteur des années 80Rock Music Magazine – 03/87

PERIODE RELATIVE AU SATORI TOUR ET UNE NUIT SATORI A L’OLYMPIA

  • Avec Daho c’est tout beau – 7 à Paris – 15/10/86

    Issu de la pépinière rennaise à l’époque de Marquis de Sade, Etienne Daho, toujours flanqué de son ami et fidèle collabroateur Arnold Turboust, s’est assuré une bonne place au tout premier plan en trois albums.  Chapeau !  Son talent est enveloppé d’une élégance soft, pimentée d’allusions sixties.  Dans son monde se côtoient Antonin Artaud, Françoise Hardy, Le Flore, les vieux James Bond, Miller, le Velvet Underground, Lio…  Bon chant, bon goût.  Son charme de jeune premier romantique intéressera tôt ou tard le monde du cinéma.  Après Tombé pour la France, il a extrait de l’album Pop Satori le simple Epaule Tattoo, également disponible en maxi et en clip : un titre superbe et accrocheur qu’il est difficile de ne pas fredonner après quelques écoutes.  Etienne Daho s’installe à l’Olympia pour huit jours, afin de recevoir du pubic parisien la consécration d’une année exceptionnelle.  Réservez-vous au moins une soirée.

  • Etienne Daho : le plein à l’Olympia et des contrats au cinéma – France Soir – 16/10/86
  • L’Express Paris – 17/10/86

    Etienne Daho, Olympia
    La folie !  Places arrachées plus d’un mois à l’avance, trois soirs transformés illico en une bonne semaine : Etienne Daho est bien la grande révélation de la variété rock française.  Déjà trois albums pour ce charmant jeune homme, chic et romantique, venu de Rennes, où le rock français, comme chacun sait, naquit et prospéra. Daho s’y montre subtil et émouvant, racontant à sa manière, naïve et directe, des histoires d’amour que Rohmer pourrait filmer.  Ajoutez à cela une sensibilité branchée, très mode, une manière de montrer le côté sérieux des choses les plus futiles, d’exalter la nuit, les boîtes, les fêtes et la tequila.  Vous avez un jeune homme dans le vent, qui sait trouver sa place entre look et sincérité.

  • Grand’messe pour chanson séductionOuest France – 20/10/86
  • Pour une semaine à l’Olympia – Daho en rose et gris – Le Figaro – 21/10/86
  • Une vraie fête – Le Quotidien de Paris – 23/10/86
  • Etienne 1er roi pop – Le Figaro – 23/10/86

    Tout commence par un nombril !  Celui de la divine Elli Medeiros, grande copine d’Etienne Daho et qui, avec son Toi, toi mon toit, fait chavirer l’Olympia.  Nombril à l’air donc, voix coquine et corps de rêve, Elli séduit puis s’en va.  Une petite demi-heure de fraîcheur avant la tornade Daho.  Et le voilà qui déboule sur scène, le roi, le dieu Daho qui, aujourd’hui, est bien le bonhomme le plus pop…ulaire du pays.  Ce qui est agaçant avec lui, c’est que l’on a beau chercher la faille, on n’en trouve pas !  Tout ce qu’il fait est parfait, juste, excitant.  Le jeune Rennais timide a fait place à une star, une vraie, mais une star qui n’aurait pas (encore) attapé la grosse tête et qui a su garder de ses débuts une fraîcheur et un charme fou.

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    Aujourd’hui voir Daho sur scène c’est participer à une gigantesque fête où tout le monde chante, danse et perd la tête.  A l’occasion de cette semaine folle et “sold out” à l’Olympia, Monsieur Pop a mis les petits plats dans les grands : six musiciens (dont le fidèle Arnold “Adélaïde” Turboust), deux choristes (une petite blonde et un grand Noir, il y en a pour tous les goûts !) et des décors superbes, pour que la fête soit complète.  Sans oublier un son impeccable qui donne à la batterie des allures de division blindée victorieuse et au sax une chaleur à faire pleurer trois généations.  Et au milieu de cette folie, de cette scène à deux niveaux (batterie, choristes, percussions en haut, Daho, claviers, guitares en bas), Daho, radieux, que l’on a rarement vu s’agiter autant !  Véritable Marsupilami “pop”, Etienne met tout ce joli monde dans sa poche en deux secondes, un clin d’œil et trois déhanchements qui feraient pâlir de jalousie Prince en personne !  La jerk-society qui bourre l’Olympia jusqu’à la gueule crie grâce, et le maître, qui n’est pas près de tomber pour la France, achève tout ce joli monde à coups d’Epaule Tattoo et autres Pop Satori.  Daho est grand et l’Olympia est son royaume.

    Alain Constant – Le Figaro

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  • Etienne Daho à l’Olympia – L’ange enregistreurLe Monde – 27/10/86

    Etienne Daho fait un triomphe tous les soirs en renvoyant à un jeune public sa propre image.
    En un peu plus d’un an, les chansons d’amour et de séduction d’Etienne Daho sont devenues des mots de passe pour une nouvelle génération reconnaissant dans le chanteur un ange enregistreur qui renvoie, avec un langage simple, direct, apparemment anodin, des images fugaces sur la solitude, la difficulté d’aimer et de se faire aimer, la fragilité du bonheur.

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    “On s’ressemble, c’est fou c’qu’on ressent.  Du moins, c’est ce qu’il me semble, on s’ressemble.  On est bien ensemble et quoi qu’on en pense, être ensemble en confidence est pure chance”, chantent cœur à cœur à l’Olympia Etienne Daho et une salle d’adolescents qui le portent littéralement d’un bout à l’autre du concert.  Lui, la tête pleine de rêve et de nostalgie, la voix de velours, tendre et suave, l’allure un peu gauche, pas du tout star, pas du tout grisé par son brusque succès, susceptible de répondre à la manière de Jack Kerouac, à qui il a dédié son troisième album (Pop Satori) que la célébrité, “c’est comme des vieux journaux balayés par le vent dans Bleecker Street”.  Le jeune public de la salle s’engouffre dès la première minute dans un univers violent et délicat, retrouve dans une ambiance de fête une “vie qui n’est pas à se tordre de rire”.  La symbiose est parfaite.  Il y a pendant une heure et demie un de ces moments privilégiés de bonheur que la chanson offre de temps en temps.

    On le sait, Daho a traîné longtemps en marge de la scène musicale.  Il a déambulé en compagnie du Velvet Underground, de Nico et de Françoise Hardy – à qui il vient de consacrer un livre –  avant de se lancer dans l’écriture de chansons.
    Depuis son premier passage à l’Olympia au printemps 1985, et bien qu’il ne se soit pas beaucoup produit en concert, Etienne Daho a appris à se tenir sur une scène, à garder sa décontraction naturelle.  Il déroule son spectacle sans aucue recherche et sa sincérité n’en est que plus évidente.

    Claude Fléouter – Le Monde

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  • L’état de grâce – Lyon matin – 29/10/86
  • Chanson – Journal de Genève – 31/10/86

    Tout va bien pour Etienne Daho.  Il est jeune, beau, il passe à la télévision, ses concerts font salle comble et lorsqu’il baisse les yeux en souriant, c’est par milliers que les coeurs de ses admiratrices s’embrument.  Le charme de cet enfant de Rennes n’a d’égal que son talent.  Tendres, belles, naïves, simples, ses chansons font mouche à tous les coups.  (Salle des Fêtes de Thônex, jeudi 6, 20h)

    A. Ba. – Journal de Genève

  • Daho dans les étoiles – L’Est Républicain – 02/11/86
  • Etienne Daho et Elli Medeiros : triomphe à l’Olympia – OK – 05/11/86

    Il l’attendait et on l’attendait ce fameux passage à l’Olympia d’Etienne Daho.  Et enfin, le 21 octobre dernier, le rideau s’est levé sur Elli Medeiros d’abord, qui assurait la partie partie, puis sur Etienne un peu angoissé bien sûr, mais à l’aise quand même, accompagné entre autres sur scène par son célèbre acolyte Arnold Turboust et Zabou qui vint en clin d’œil interpréter avec lui leur très célèbre “Adélaïde”.  Dans la salle, tous les copains d’hier et d’aujourd’hui qui, les derniers applaudissements tus, se sont précipités en coulisses : Françoise Hardy, l’idole d’Etienne on le sait, Zabou bien sûr, et Jacky à qui Etienne avait écrit une chanson il y a quelques mois.  “Le clan Daho” et tous les spectateurs de l’Olympia étaient satisfaits de leur soirée.  On les comprend, elle était super !

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  • Etienne Daho rockeur de charmeRadio TV8 – 13/11/86
  • Satori night pour foule électriséeLe Dauphiné libéré – 10/11/86
  • 2500 fans pour Daho à Mulhouse – Ce mec est tatoo…muchL’Alsace – 26/11/86
  • Daho, les chœurs – Nord Eclair – 27/11/86

    Concert “sold out” depuis longtemps.  Attente fébrile de la plus tendre de nos pop stars.  On savait que le petit dernier ferait à Lille un malheur.  De fait, Etienne Daho a fait craquer à l’envi deux milliers d’entre ses fans, mercredi soir.
    Et ça commence très fort, sur fond néo-fluo et toutes caisses claires dehors.  On le découvre en mezzanine, mèche rebelle et col amidonné, flanqué du tambourin de sa groupie préférée.  Il affiche un sourire à damner les soubrettes, une voix de troubadour et des chansons pastel, méli-mélo, plutôt mélo d’ailleurs.  Un petit côté intello, dans la musique et dans les mots, mais gommé à l’humour, quand même.  Alors c’est l’hystérie à tous les étages, ravivée quand il le faut d’un superbe déhanchement caoutchouc.  Daho et hurlements…

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    Etienne Daho, c’est une fête.  Un sax qui s’époumone dans une ambiance au goût sauvage.  “Ce soir, je n’ai d’yeux que pour toi” dit Daho d’une œillade et son public – genre surboum et jamboree – lui tend les bras sort le briquet, reprend en chœur même les faces B.
    Daho enchaîne ses jolis rocks au carré, rocks-perles de toutes les couleurs qu’il aligne au fil du temps.  Et le temps travaille pour lui, pour son look de jeune premier, sa musique sans bavures.  Le son est plus que correct dans un parfum d’embellie.  A la mi-temps, Daho laisse son copain Turboust se faire ensorceler par la chute de reins d’une adélaïde de salon.  Il nous revient pour remettre deux sous à la musique, avec un enthousisame qui donne envie de se bouger.  Musique du style nouvelle cuisine, sympa, abordable, service compris, et qui vous laisse au fond un délicieux petit creux.
    Daho jouera les rappels à cache-cache, avec “de très vieilles chansons qui ont au moins quatre ans” et une ballade de Lou Reed, son idole à lui.  Un dernier sourire.  Ravageur.  Rien à redire.

    Guy-Pierre Eloire – Nord Eclair

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  • Tombés pour Daho – L’Est Républicain – 30/11/86
    chapeau de l’article

    Lui est “tombé” pour la France et les jeunes Nancéiens sont tombés hier pour Daho… Une histoire de coeur, de look et de musique associés.

  • Rock & Folk – 12/86

    Daho et sa bande, pour une semaine de triomphe.  Quand Elli esquisse les premières notes de “Toi Mon Toit”, les petites filles nichées dans un coin du balcon de l’Olympia entament une danse du ventre malhabile et chaloupée et s’énervent déjà en rêvant à la mèche folle d’Etienne.  En bas, comme une mer déchaînée, une foule de kids BCBG (public Benetton/Benodet) noie le petit poisson dans une joyeuse cohue.  Soirée french pop, scintillante de mille feux.  Enfin, lorsqu’Etienne Daho et son groupe (Arnold Turboust aux claviers, Aliss Terrel aux backing vocals, etc…) se glissent sur scène, la salle légendaire retrouve soudain une hystérie perdue, une folie sixties que l’on croyait à jamais révolue, enterrée avec les yé-yés.  Vaguement empoté dans un costume croisé (donc charmant !) sautillant comme un bébé kangourou dans un décor “op’ art” très JamesBond/Epaule Tattoo, Daho pop star se lance dans la célébration sucre d’orge d’un lumineux “Pop Satori”.  Départ “Swingin’ London”, escale “Paris le Flore”, “Paris à l’Hôtel” et château hanté (“4000 Années d’Horreur”, où Daho, les bras écartés, joue les fantômes à la Oscar Wilde), ballade d’amour (“Duel au Soleil”) et “Week-end à Rome”, confidences en demi-teintes (“Demain Mieux Que Moi”) et aveux feutrés (“Sortir ce Soir”, juste le premier couplet, a cappella), Daho, le long d’un show superbe (ponctué d’un changement de décor révélant un surprenant trompe-l’œil) va égrener ses hymnes nocturnes et ses pop songs clignotantes, laisser la place à son copain Arnold  le temps d’une “Demoiselle Adélaïde” en duo avec Zabou, avant de triompher avec ses hits les plus sûrs (“Tombé Pour La France”), maître d’œuvre timide et embarrassé d’un spectacle super-bien ficelé.  Aimable, forcément aimable.

  • “Daho is singing in the Rennes” (interview) – Graffiti – 12/86
  • Daho triomphe à Rennes dans son jardinFrance Soir – 11/12/86
  • Face à face de plus de quatre heures entre Daho et 6000 jeunes – Rennes en “Trans” pour son “roi”La Liberté du Morbihan – 11/12/86
  • Daho ramasse tout – L’Humanité – 13/12/86
  • Le petit prince charmantRévolution – 15/12/86
  • La dernière séance… avant la pause… (interview) – Graffiti – 01/87
  • Variétés – Journal de Genève – 03/01/87

    Quand Etienne Daho passe, les coeurs trépassent.  Sourires câlins, légers déhanchements, mais aussi beaucoup de talent : c’était la recette  – éprouvée –  de la novelle coqueluche des amateurs de chanson pas trop sérieuse. le 6 novembre à Thônex.

    O.P. – Journal de Genève

  • Etienne Daho, coqueluche de la France rockeuse, sera à Québec le 8 février – Le Soleil (Québec) – 29/01/87

  • Etienne Daho vient à Québec – Le Devoir (Montréal) – 30/01/87
  • Etienne Daho à Rendez-vous 87 – Le Nouvelliste (Québec) – 31/01/87
  • De France, Etienne Daho vient seul au Rendez-vous 87 – La Presse – 06/02/87
  • Carabine FM (article à l’occasion de l’émission suisse romande Carabine FM)- Radio TV8 – 12/03/87
  • Daho : le succès joyeux de la “new french pop” – Le Soleil (Québec) – 13/02/87
    chapeau de l’article

    Jeune homme discret qui garde, au seuil de la trentaine, des allures d’adolescent, Etienne Daho est aujourd’hui en France l’un de ces artistes pour qui tout va très vite. L’accélération du succès est venue avec un “tube” qui commence à être beaucop entendu ici, Tombé pour la France.

  • Deux parrains de choix (article relatif l’émission Nouvelle affiche) – 24 Heures – 01/04/87
  • Pauvre Etienne Daho ! (article relatif à l’émission Embarquement immédiat) – 24 Heures – 13/05/87
  • ViDaho – Rock & Folk – 07/87

    Daho live en vidéo, ou une nuit Satori en VHS.  Fin novembre 86, Daho squattait l’Olympia de sa Pop Satori chic et raffinée.  Décors en trompe-l’œil, surchargés de motifs op’art sur la scène, panneau “complet” affiché tous les soirs à l’entrée, Daho faisait un tabac !  Réalisé par Thierry Monnet, “Une Nuit Satori à l’Olympia” (Virgin 10023) reprend la quasi-totalité d’un des shows de notre pop-star hexagonale (à peu près une heure de concert), entouré de ses petits copains de classe (Arnold Turboust, Elli Medeiros, craquante sur “Pop Egérie O”).  La fête : un véritable best of Live (“Le Grand Sommeil”, “Week-end à Rome”, “Epaule Tattoo”, etc…), complété, histoire de faire bon poids, par une collection de clips à nous faire une fois de plus regretter TV6 (“Tombé pour la France”, “Duel au Soleil”).  Scope Satori !

  • Daho ou la mélancolie du chanteur de pop – Le Matin – 07/87

    1986 aura été l’année de la consécration de la “nouvelle pop française”, et surtout de celui que l’on considère comme son chef de file, Etienne Daho.  Même s’il refuse cette parternité, le jeune Rennais a su imposer  son style, entre la variété et le rock, plus romantique que crooner, une voix feutrée, des mélodies douces et mélancoliques.  Son dernier 33 tours, Pop Satori, est disque de platine et en octobre dernier, Daho a fait salle comble à  l’Olympia pendant une semaine.  C’est l’un de ces concerts que TF1 retransmet ce soir, sous le titre Satori night à l’Olympia.  Pour nous faire goûter un petit bout de ce que fut l’atmosphère du music-hall parisien durant les nuits Daho.  Un décor pscychédélique, un chanteur timide, ovationné par un public très jeune qui reprend en chœur tous les morceaux de son idole.  Le paradis ou presque.

  • Une nuit Satori à l’Olympia – Dahomanie – Radio TV8 – 02/07/87
  • Carabine FM (article à l’occasion de l’émission suisse romande Carabine FM) – Journal d’Yverdon et du Nord vaudois – 14/07/87
  • Podium – 06/88

    Concrétisé par le disque, le clip, et enfin l’Olympia, le “Pop Satori” d’Etienne Daho représente pour le chanteur une finalité professionnelle doublée d’une profonde béatitude personnelle.  Voici ici enregistrée, en 87 minutes, une partie non négligeable de cette fameuse “Nuit Satori” donnée à l’Olympia le 29 novembre 1986.  Une chance évidente pour tous qui n’y étaient pas !

  • Vidéo7 – 12/88

    Une nuit Satori à l’Olympia.
    Un concert en 1987 et des clips.  C’est l’originalité de cette cassette.  Daho, et son épaule tatoo, emporte la foule dans un tourbillon de notes et d’émotions.  Vingt-deux chansons au total.  De la belle et grande musique.

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BANDES ANNONCES

réédition 2006

édition limitée vinyle transparent
sortie 03/09/21
CLIPS OFFICIELS

Paris le Flore

Epaule tattoo

Tombé pour la France
EMISSIONS TELE

ROX-BOX
RTBF – 1986

Effraction
interview
France  Régions 3 – 20/05/86

DAHOMD (extrait)
So in love avec Orchestral Manoeuvres in the Dark
10/86

Danarama (extrait)
M6 – 1987

Carabine FM
TSR – 20/03/87

Carabine FM
Duel au Soleil
TSR – 20/03/87

Embarquement immédiat pour Londres (extrait)
Late night
France 3 – 05/87
PASSAGE TELE

Midi public
Duel au soleil & interview
RTS – 1986
AUTRES

Trans Musicales
Rennes soir – France Régions 3 – 09/12/86

Tombé pour la France

du 15 octobre 86 au 8 février 87 : la tournée Satori Tour

LES DATES

octobre
mer 15 : Maison de la Culture – REIMS
jeu 16 : Théâtre – CAEN
ven 17 : Salle Omnisports – FLERS
sam 18 : MONS
mar 21 au mer 28 : Olympia –  PARIS

novembre
mer 5 : Maison des Congrès – CLERMONT-FERRAND
jeu 6 :  Salle des Fêtes – THONEX (Genève)
ven 7 : Bourse du travail – LYON
sam 8 : Parc des Expositions – ANNECY
lun 10 : Le Rex – AIX-EN-PROVENCE
mar 11 : Théâtre de la Verdure –  NICE
mer 12 : Grand Odéon – MONTPELLIER
jeu 13 : Salle Gérard Philippe – CASTRES
ven 14 : Salle du Casino – PAU
sam 15 : Salle de Grand Parc –  BORDEAUX
dim 16 : Le Gymnase – TOULOUSE
mar 18 : Théâtre – LIMOGES
mer 19 : Palais de Congrès – BOURGES
jeu 20 : Maison de la Culture – SAINT-ETIENNE
ven 21 : Le Grand Angle – VOIRON
dim 23 : Palais des Congrès – STRASBOURG
lun 24 : Palais de Sports – MULHOUSE
mer 26 : Palais des Congrès – LILLE
jeu 27 : M.A.L. – LAON
ven 28 : Cirque royal – BRUXELLES
sam 29 : Parc des Expositions – NANCY
dim 30 : Hall Prestige – ORLEANS

décembre
mar 2 : Exo 7 – ROUEN
mer 3 : Palais des Sports – JOUE-LES- TOURS (Tours)
jeu 4 : Palais des Congrès – ANGERS
ven 5 : Le Beaujoire – NANTES
sam 6 : CAC – SAINT-BRIEUC
mar 9 : Transmusicales Salle Omnisports – RENNES

février
dim 8 : Rendez-vous 87 – QUEBEC

LA SETLIST

Satori thème – Epaule tattoo – Signé Kiko – 4000 années d’horreur – Swingin’London – Arnold layne – Le grand sommeil – Paris le Flore – Quelqu’un qui m’ressemble – Pop Egérie O – Demain mieux que moi – Duel au soleil – Et si je m’en vais avant toi – Adélaïde (interprété par Arnold Turboust et Zabou) – Week end à Rome – Tombé pour la France – Satori Pop Century – Mythomane – Late night – After hours*

guests : Elli Medeiros (Pop Egérie O) et Zabou (Adélaïde)

*After hours (Lou Reed) Velvet Underground

LES MUSICIENS

Chuck Sabo : batterie
François Daniel : basse
Xavier “Tox” Geronimi : guitare
Arnold Turboust et Olivier Lanneluc : claviers
Frédéric Wallich : sax & percussions

choristes : Bruce Johnson et Aliss Terell

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Quelques photos d’Etienne aux Transmusicales de Rennes, concert du 9 décembre 1986,  encore à visionner sur le site Mémoires de Trans ici

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